Chroniques de la mort qui tue - Introduction

En préambule, je précise qu'il s'agit d'un récit sans intérêt d'un joueur confronté à la mort, chose improbable dans l'univers vidéoludique actuel.

La mort a longtemps été la frustration extrême du jeu vidéo. A mes débuts sur un certain Rush'n Attack, j'ai du sauver le monde du communisme avec seulement un couteau et trois vies, le moindre contact avec un élément hostile étant bien sûr fatal. L'arrivée des barres de vie et de la sauvegarde ont depuis changé la donne, facilitant grandement les jeux. Les joueurs ont même acquis depuis la capacité de se réincarner instantanément et souvent sans pénalité.

Pourtant, certains jeux comme Diablo III rappellent que la mort peut tuer, effaçant par la même des heures de dur labeur totalement non constructif. Longtemps mis de coté, suite à une première tentative tuée dans l'oeuf, je me suis finalement décidé à repasser par la mode extrême de Diablo III.

Je connais les risques. J'ai déjà assisté à la fin d'aventuriers quittant avec rage Diablo III pour ne plus revenir, après avoir été soumis à la grande faucheuse. Découpé, transpercé, arcanisé, gelé, explosé, empoisonné, déconnecté... Autant de manière de voir ses jours comptés. Mon premier défi sera d'arriver à conclure les 60 premiers niveaux, avant d'être frappé par l'Armageddon. Et comme dirait une certaine chose capuchonnée: "JE SERAI AU RENDEZ-VOUS".

Mode extrême

Avez-vous déjà choisi l'aventure Diablo III en mode extrême ?

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